Dès que la condamnation est exécutoire, la personne condamnée à la peine de sanction-réparation est informée par le procureur de la République ou par son délégué qu’elle doit lui adresser, au plus tard à l’expiration du délai fixé pour indemniser la victime ou procéder à la remise en état des lieux, la justification qu’il a été procédé à cette indemnisation ou à cette remise en état. Si l’indemnisation se fait en plusieurs fois selon des modalités fixées par la juridiction, la justification doit intervenir pour chaque versement, sauf décision contraire du procureur ou de son délégué.
Lorsque la réparation s’exécute en nature et consiste en une remise en état des lieux, ou en cas de retard dans l’indemnisation de la victime, le délégué du procureur peut convoquer le condamné, le cas échéant avec la partie civile, afin de faciliter l’exécution de la peine ou d’en vérifier l’exécution.
Le procureur de la République ou son délégué informe la personne condamnée à une peine de sanction-réparation qu’elle doit lui adresser, au plus tard à l’expiration du délai fixé pour indemniser la victime ou procéder à la remise en état des lieux, la justification qu’il a été procédé à cette indemnisation ou à cette remise en état. Si l’indemnisation se fait en plusieurs fois selon des modalités fixées par la juridiction, la justification doit intervenir pour chaque versement, sauf décision contraire du procureur ou de son délégué.
Lorsque la réparation s’exécute en nature et consiste en une remise en état des lieux, ou en cas de retard dans l’indemnisation de la victime, le délégué du procureur peut convoquer le condamné, le cas échéant avec la partie civile, afin de faciliter l’exécution de la peine ou d’en vérifier l’exécution.
- Modifié par Décret n°2007-1388 du 26 septembre 2007 – art. 3 () JORF 28 septembre 2007